ANTHOLOGIE – 01, Index des noms d’auteurs de l’Anthologie de littérature

ANTHOLOGIE DE LITTÉRATURE

Index des noms d’auteurs

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BA (Ahmadou Ampâté), Petit Bodiel et autres contes de la savane., (1993), « Le mensonge devenu vérité »

BA (Ahmadou Hampâté), Oui, mon commandant! Récits., (1994) « Musulman, fils de musulmans. »

BALANDIER (Georges), Afrique ambiguë, (1957), « Une sorte de contrat d’existence, inconscient et indéchirable. »

BALANDIER (Georges), Afrique ambiguë, (1957), « La complainte du chaos »

BALANDIER (Georges), Afrique ambiguë, (1957), « Une entreprise de dépossession »

BALANDIER (Georges), Afrique ambiguë, (1957), « Leur affligeante présence »

BEN JELLOUN (Tahar), Au pays., (2009) « Un ouvrier modèle. »

BÉTI (Mongo), « Préface » de Le temps de Tamango., (1981) de Boris Boubacar DIOP « L’objet obligé de notre contemplation. »

BEY (Maïssa), Pierre, sang, papier ou cendre (2008), « Le bon élève. »

BEY (Maïssa), Pierre, sang, papier ou cendre (2008), « J’aime mon pays. »

BEY (Maïssa), Sous le jasmin la nuit (2012), « Seul surgira la regard d’un autre. »

BEY (Maïssa), Sous le jasmin la nuit (2012), « Voilà encore un mot interéssant … « Heureuse »… »

BLIXEN (Karen), Une ferme africaine., (1937) « J’ai possédé une ferme en Afrique. »

BOÉTIE (Étienne, de la), Discours sur la servitude volontaire., (1549) « Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres. »

BOFANE, (In Koli, Jean), Mathématiques congolaises., (2008), « Se méfiant l’un de l’autre sans aucune raison tangible. »

BOFANE, (In Koli, Jean), Mathématiques congolaises., (2008), « La Faim. »

CÉSAIRE (Aimé), Cahier d’un retour au pays natal., (1937-1939) « Un très bon nègre. »

CÉSAIRE (Aimé), Discours sur le colonialisme., (1948), « La colonisation décivilise le colonisateur. »

CÉSAIRE (Aimé), La tragédie du roi Christophe., (1964), « Je demande trop aux hommes! »

CÉSAIRE (Aimé), Une saison au Congo., (1966) « Tout ce qui est courbé sera redressé. »

CÉSAIRE (Aimé), Discours sur l’art africain., (1973), « Une postulation impatiente de fraternité »

COETZEE (John Maxwell), En attendant les barbares., (1980), « Une acuité historique particulière. »

CONDORCET (Jean, de), Réflexions sur l’esclavage des nègres., (1781), « Épître dédicatoire aux nègres esclaves. » « Je vous ai toujours considéré comme les frères. »

CONDORCET (Jean, de), Réflexions sur l’esclavage des nègres., (1781), « Excuser l’esclavage des nègres. »

COUAO-ZOTTI (Florent), L’enfant aux pieds rouges. (2008) « L’enfant aux pieds rouges. »

DAMAS (Paul-Gontran) Pigments-Névralgies., (1937) « Solde »

DAMAS (Paul-Gontran) Pigments-Névralgies., (1937) « Il est des nuits. »

DJEBAR (Assia) La femme sans sépulture., (2002) « Une joie dure. »

DIOME (Fatou), La préférence nationale., (2001) « Une carte d’immatriculation raciale et ethnique. »

DIOME (Fatou), La préférence nationale., (2001) « Capter l’odeur française. »

DIOP (Boris Boubacar), Le temps de Tamango. (1981) « Préface » de Mongo BÉTI « L’objet obligé de notre contemplation. »

DIOP (Boris Boubacar), Le temps de Tamango. (1981) « Ce sont mes otages et je suis le leur. »

DIOP (Boris Boubacar), Le cavalier et son ombre., (1997) « Mourir ensemble de faim. »

DIOP (Boris Boubacar), Le cavalier et son ombre., (1997) « Un très long voyage à l’intérieur de lui-même. »

DIOP (Boris Boubacar), Le cavalier et son ombre., (1997) « Le président était le pantin idéal. »

DONGALA (Emmanuel), Un fusil dans la main, un poème dans la poche., (1973) « Il nous appartient de faire l’histoire. »

DONGALA (Emmanuel), Jazz et vin de palme., (1982) « Portrait d’Augustine Amaya. »

DONGALA (Emmanuel), Jazz et vin de palme., (1982) « Il ne sait pas à quel moment « l’homme »surgira pour le frapper à son tour. »

DONGALA (Emmanuel), Les petits garçons naissent aussi des étoiles (1998) « La nouvelle couleur fétiche devint le rouge. »

DONGALA (Emmanuel), Les petits garçons naissent aussi des étoiles (1998) « La démocratie a dégringolé sur nos têtes. »

DONGALA (Emmanuel), Les petits garçons naissent aussi des étoiles (1998) « J’ai failli ne pas être né. »

DONGALA (Emmanuel), Les petits garçons naissent aussi des étoiles (1998), « Et j’ai cru revivre les derniers instants de la vie de Lumumba. »

EFOUI (Kossi) La fabrique des cérémonies., (2001) « Les signes de la Géographie. »

EFOUI (Kossi), L’ombre des choses à venir., (2011) « La guerre. »

EL HASSANI (Mohammed Kacimi), À la claire indépendance. (1997-1999) in, Une enfance algérienne. « Il y a longtemps que je t’aime. »

FANON (Franz), Peau noire, masques blancs., (1956) « Le Nègre n’est pas. Pas plus que le blanc. »

FANON (Franz), Les damnés de la Terre., (1961) « Préface » de Jean-paul SARTRE, « Les zombies, c’est vous. »

FANON (Franz), Les damnés de la Terre., (1961) « S’enfoncer l’âme en paix dans la voie horrible. »

FONTAINE (Jean, de la), Fables., (1668), premier recueil, « Le Corbeau et le Renard »

FONTAINE (Jean, de la), Fables., (1668), Premier recueil, « Rat de ville et Rat des champs. »

FONTAINE (Jean, de la), Fables., (1678) « Les vrais amis. »

GIDE (André), Voyage au Congo. suivi de Retour du Tchad., (1927) « Moins le blanc est intelligent, plus le noir lui paraît bête. »

GLISSANT (Édouard), Malemort., (1975) « Ils entendaient le cri des chiens dans la ravine. »

GLISSANT (Édouard), Malemort, (1975) « Ce large frappé sans bavures de domino. »

GLISSANT (Édouard), Le Tout-Monde., (1993) « Le Tout-Monde, c’est ce désordre et vous devez courir dedans. »

JAMES (Kerry), Lettre à la République., (2012), « Votre histoire est agressive. »

KANE (Cheikh Hamidou), L’aventure ambiguë., (1961) « Plus qu’une simple sédition de mon corps. »

KANE (Cheikh Hamidou), L’aventure ambiguë., (1961) « Je que je propose, c’est que nous acceptions de mourir en nos enfants. »

KHADRA (Yasmina), L’imposture des mots., (2002) « Maintenant que je ne suis plus un soldat, qui suis-je? »

KOUROUMA (Ahmadou), Les soleils des indépendances., (1968-1970) « Où a-t-on vu Allah s’apitoyer sur un malheur? »

KOUROUMA (Ahmadou), Les soleils des indépendances., (1968-1970) « Faire l’exégèse des dires afin de trouver sa propre destinée. »

KOUROUMA (Ahmadou), En attendant le vote des bêtes sauvages., (1994) « Une seule occupation rentable: le trafic des esclaves noirs. »

KOUROUMA (Ahmadou), En attendant le vote des bêtes sauvages., (1994) « Con de tirailleur raté. »

LABOU TANSI (Sony), La vie et demie., (1979), « VVVF, Villas, Voitures, Vins, Femmes. »

LABOU TANSI (Sony), Les sept solitudes de Lorsa Lopez., (1985), « La septième décapitalisation. »

LAFERRIÈRE (Dany), Le goût des jeunes filles., (1993), « Chercher la vie. »

LAYE (Camara), L’enfant noir., (1953) « Recevoir sur le derrière une correction mémorable. »

MABANCKOU (Alain), Le sanglot de l’homme noir, (2012), « D’autres Africains réclameront plus d’Afrique »

MABANCKOU (Alain), Le sanglot de l’homme noir., (2012), « Il y a plus de héros dans l’ombre que dans la lumière. »

MAMANI (Abdoulaye), Œuvres poétiques. Poémérides. Éboniques. Préface à l’Anthologie de la poésie de combat.  remiers poèmes. , Paris, aux éditions L’Harmattan, introduction et notes de Jean-Dominique PÉNEL,  « Obole ». 

MAMANI (Abdoulaye), Œuvres poétiques. Poémérides. Éboniques. Préface à l’Anthologie de la poésie de combat.  remiers poèmes. , Paris, aux éditions L’Harmattan, introduction et notes de Jean-Dominique PÉNEL,  « 00000 ». 

MAMANI (Abdoulaye), Œuvres poétiques. Poémérides. Éboniques. Préface à l’Anthologie de la poésie de combat.  remiers poèmes. , Paris, aux éditions L’Harmattan, introduction et notes de Jean-Dominique PÉNEL,  « Ange free ». 

MAMANI (Abdoulaye), Œuvres poétiques. Poémérides. Éboniques. Préface à l’Anthologie de la poésie de combat.  remiers poèmes. , Paris, aux éditions L’Harmattan, introduction et notes de Jean-Dominique PÉNEL,  « Non, merci! à la manière de Cyrano ». 

MAMANI (Abdoulaye), Sarraounia, le drame de la reine magicienne., (1980), « Nous sommes tous des esclaves, donc frères dans le malheur. »

MAMANI (Abdoulaye), Sarraounia, ou le drame de la reine magicienne., (1980) « Ce cœur de granit durci par l’épreuve et l’orgueil. »

MAMANI (Abdoulaye), Sarraounia, ou le drame de la reine magicienne., (1980) « Vous êtes les bienvenus. »

MARAN (René), Batouala. , 1921, « Une odeur de cadavre. »

MIANO (Léonora), Contours du jour qui vient, (2006), « Et c’est le cœur ardent que j’étreins puissamment les contours du jour qui vient. »

MIANO (Léonora), Contours du jour qui vient, (2006), « De vaines suppliques au Ciel »

MIANO (Léonora), Contours du jour qui vient., (2006), « Ce désespoir qui usurpait le nom de foi. »

MIANO (Leonora), Tels des astres éteints., (2008) « Les Kémites et Babylone. »

MIANO (Leonora), Tels des astres éteints., (2008) « La mort parmi les vivants. »

MIANO (Leonora), Tels des astres éteints., (2008) « Le cœur en lambeaux. »

MIANO (Leonora) Soul Food Equatoriale., (2009) « Soul Food. »

MILCAM (Jean-Pierre), Apocalypses. , (1997-1999) in, Une enfance algérienne. « leurs cendres confondues dans le limon généreux. »

MONÉNEMBO (Tierno), Les crapauds-brousse., (1979), « Le fou »

MONTAIGNE (Michel, de) Les Essais., (1580) « Ils sont sauvages de même que nous appelons sauvages les fruits. »

MONTESQUIEU (Charles Secondat, de), De l’Esprit des Lois, 1748, « De l’esclavage des nègres. » « Un corps tout noir. »

MUKASONGA (Scholastique), La femme aux pieds nus, 2008, « La Presquemadame. »

NAMFIO (Dieudonné), Complainte. (1990) « Mon fils regarde mes mains »

N’DIAYE (Marie) Trois femmes puissantes., (2009) « Khady savait qu’elle n’existait pas pour eux. »

N’DIAYE (Marie) Trois femmes puissantes., (2009) « Un relent de moisi. »

NDJONGOMA (Dieudonné), « Je suis né dans la poussière. » , (1990) Anthologie de la poésie centrafricaine., ouvrage coordonné par Jean-Dominique PÉNEL.

N’SONDÉ (Wilfried) Le silence des esprits., (2010) « J’ai laissé parlé mon coeur. »

N’SONDÉ (Wilfried) Le silence des esprits., (2010)  » Les tortures de l’absence. »

N’SONDÉ (Wilfried), Le cœur des enfants-léopards. , (2010), « Laisse toi de temps en temps chavirer. »

N’SONDÉ (Wilfried), Le cœur des enfants-léopards. , (2010), « Ne courbe pas l’échine. »

OYONO (Ferdinand), Le vieux nègre et la médaille., (1956) « Sa tête montait comme la tour de Babel à l’assaut du ciel . »

PÉNEL (Jean-Dominique), Anthologie de la poésie centrafricaine. (1990) pour « Mon fils regarde mes mains » extrait de Complainte de Dieudonné NAMFIO et « Je suis né dans la poussière » de Dieudonné NDJONGOMA.

RASPAIL (Jean), Sept cavaliers quittèrent la ville a crépuscule par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée., 1993, Paris, « Au-delà s’étendait un monde peu connu faits de déserts et d’oasis lointaines. »

ROBERT (Anne-Cécile), L‘Afrique au secours de l’Occident., (2006), « Préface » de Boris Boubacar DIOP « Une réflexion qui ne sait qu’osciller entre deux extrêmes. »

SARTRE (Jean-Paul), « Préface » à Les damnés de la Terre., (1961) de Franz FANON « Les zombies, c’est vous. »

SEMBÈNE (Ousmane), Les bouts de bois de Dieu., (1960) « Ce temps enfantait aussi d’autres femmes. »

SEMBÈNE (Ousmane), Le mandat., (1966) « Un mandat de combien? »

SENGHOR (Léopold Sédar), Chants d’ombre (1945-1964), « Femme noire. »

TADJO (Véronique), Latérite., (1983), « La parole du griot. »

TADJO (Véronique), Latérite., (1983), « L’horizon en feu »

TADJO (Véronique), Loin de mon père., (2010), « Être métisse, est-ce avoir la mauvaise ou la bonne couleur de peau? »

TCHAK (Sami), La fête des masques., (2004), « Jeter sur la réalité environnante un regard hautain. »

TOCQUEVILLE (Alexis, de), De la démocratie en Amérique. (1835) « Leurs malheurs se ressemblent. »

UMUGWANEZA (Angélique), Les Enfants du Rwanda, (2008), « Les Hutus comme les Tutsis. »

VIRCONDELET (Alain), Le retour des sources. (1997-1999) in, Une enfance algérienne., « Les eaux amères deviennent douces. »

VOLTAIRE, Candide ou l’optimisme., (1759) « Le nègre de Surinam. »

WABERI (Abdourahmane), Aux États-Unis d’Afrique., (2008) « Enchanter nos âmes lasses. »

WABERI (Abdourahmane), Aux États-Unis d’Afrique., (2008) « Le théâtre de ton périple. »

WABERI (Abdourahmane) Passage des larmes., (2009) « le ciel bas de mes souvenirs. »

ZARUMEY (Shaïda), Alternances pour le sultan., (1982), « La Fleur et le baiser. »

ZARUMEY (Shaïda), Alternances pour le sultan., (1982), « Quarante-deuxième anniversaire. »

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