Archives par mot-clé : Tragédie

FICHES DE LECTURE – Wilfried N’Sondé, Le coeur des enfants léopards (2007) RAYMOND&BANOUNE

CRITIQUE LITTÉRAIRE

Wilfried N’SONDÉ, Le cœur des enfants léopards, 2007, prix Senghor de la création littéraire

FICHE TECHNIQUE

N’SONDE (Wilfried), Le cœur des enfants léopards, 2007, Prix des Cinq continents de la francophonie et le prix Senghor de la création littéraire, aux éditions Babel, 131 pages, collection « Babel », 2007. Continuer la lecture de FICHES DE LECTURE – Wilfried N’Sondé, Le coeur des enfants léopards (2007) RAYMOND&BANOUNE

HDA – HDA 2016 – Lettres, « Antigone (1943), extraits et analyse. »

HISTOIRE DES ARTS

 Domaine artistique : Arts du langage

Thématique : Art, Etats et pouvoir

                               Art, ruptures, continuité

 ANTIGONE de Jean Anouilh, 1944

 Prologue

 EXTRAIT

 » […] Le Prologue

 

Un décor neutre. Trois portes semblables. Au lever de rideau, tous les personnages sont en scène. Ils bavardent, tricotent, jouent aux cartes.

Le Prologue se détache et s’avance. Continuer la lecture de HDA – HDA 2016 – Lettres, « Antigone (1943), extraits et analyse. »

ANTHOLOGIE – 1997, Boris Boubacar DIOP, Le Cavalier et son ombre. « Le Président était le pantin idéal. »

« Le Président était le pantin idéal. »

 « […] Une odeur nauséabonde les fit reculer de quelques pas. Une odeur de cadavre.

Au même instant, une voix retentit derrière eux :

– bienvenue dans ma modeste retraite.

C’était le Président.

Il avait fière allure dans son célèbre grand boubou trois-pièces d’un blanc immaculé Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1997, Boris Boubacar DIOP, Le Cavalier et son ombre. « Le Président était le pantin idéal. »

ANTHOLOGIE – 1966, Aimé CESAIRE, Une saison au Congo. « Tout ce qui est courbé sera redressé. »

« Tout ce qui est courbé sera redressé. »

 « […] LUMUMBA :

Moi, sire, je pense aux oubliés.

Nous sommes ceux que l’on déposséda, que l’on frappa, que l’on mutila ; ceux que l’on tutoyait, ceux à qui l’on crachait au visage. Boys-cuisine, boys-chambre, boys comme vous dites, lavadères, nous fûmes un peuple de boys, un peuple de oui-bwana et, qui doutait que l’homme pût ne pas être l’homme, n’avait qu’à nous regarder. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1966, Aimé CESAIRE, Une saison au Congo. « Tout ce qui est courbé sera redressé. »