« Ce désespoir qui usurpait le nom de foi. »
« […] La nuit était chaude et les rues bondées. Après la guerre qui venait de tailler le pays en pièces, les habitants de Sombé recommençaient à vivre, mais pas comme avant. Ce n’était pas pour aller au restaurant qu’ils sortaient. Ils n’allaient pas voir un film, ni se trémousser au rythme des chansons branchées. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 2006 – Léonora MIANO – Contours du jour qui vient, « Ce désespoir qui usurpait le nom de foi. »