« Une odeur de cadavre. »
« […] Les Blancs pestent contre la piqûre des moustiques. Celles des « fourous » les irrite. Ils craignent les mouches-maçonnes. Ils ont peur de cette écrevisse de terre qu’est « prakongo », le scorpion, qui vit, noir, annelé et venimeux, parmi les toitures ruineuses, sous la pierraille ou au cœur des décombres.
En un mot, tout les inquiète. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1921, René MARAN, Batouala. « Tout leur corps transpirait une odeur de cadavre. »