« C’est le cœur ardent que j’étreins puissamment les contours du jour qui vient. »
« […] Cette fois il me semble que tu me voies. Tu me demandes d’une voix douce, baissant à terre la pelle que tu tenais encore levée : Pourquoi t’être absentée si longtemps ma fille ? Ne sais-tu pas que je t’ai cherchée partout le cœur serré d’angoisse ? Jamais je n’ai entendu ces inflexions dans ta voix. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 2006 – Léonora MIANO – Contours du jour qui vient, « C’est le coeur ardent que j’étreins puissamment les contours du jour qui vient. »