« Le Président était le pantin idéal. »
« […] Une odeur nauséabonde les fit reculer de quelques pas. Une odeur de cadavre.
Au même instant, une voix retentit derrière eux :
– bienvenue dans ma modeste retraite.
C’était le Président.
Il avait fière allure dans son célèbre grand boubou trois-pièces d’un blanc immaculé Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1997, Boris Boubacar DIOP, Le Cavalier et son ombre. « Le Président était le pantin idéal. »