Archives par mot-clé : immigration

ANTHOLOGIE – 2009 – Tahar BEN JELLOUN « Au pays. »

« Un ouvrier modèle. »

« […] A l’usine, il avait ses habitudes. Il arrivait tous les jours à l’heure. Jamais de retard ni d’absence. Même malade, sauf vaincu par la grippe, il tenait à être là, à travailler. Il apportait son repas, mangeait vite, s’asseyait sur un banc et fermait les yeux. Ses camarades se moquaient de lui. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 2009 – Tahar BEN JELLOUN « Au pays. »

FICHES DE LECTURE – Christophe GUILLUY , « Fractures françaises » (2010) par cécile JACQUART

BIBLIOTHÈQUE VIRTUELLE – FICHES DE LECTURE

Christophe GUILLUY, Fractures françaises, Paris, 2010

« White flight. »

FICHE TECHNIQUE

GUILLUY (Christophe), Fractures françaises., 2010, Paris, aux éditions Bourin éditeur, réédition en 2013, aux éditions Flammarion, collection « Champs Essais », 186 pages, ISBN 978-2081289611.

L’AUTEUR

Christophe Guilluy est un géographe spécialisé dans la géographie sociale urbaine. Avant Fractures françaises il a publié notamment l’Atlas des nouvelles fractures sociales en France (2004 éditions Autrement). Ses thèses gênent politiquement mais ne sont pas remises en cause par d’autres géographes comme Laurent Davezies (cf. entretien dans Nouvel observateur n°2602 du 18 septembre 2014). Il vient de publier en septembre 2014 un livre sur la France périphérique où il les développe. Continuer la lecture de FICHES DE LECTURE – Christophe GUILLUY , « Fractures françaises » (2010) par cécile JACQUART

ANTHOLOGIE – 1993 – Jean RASPAIL, Sept cavaliers quitèrent la ville au crépuscule par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée, « Au-delà s’ouvrait un monde peu connu… »

« Au-delà s’ouvrait un monde peu connu fait de déserts et d’oasis lointaines… »

« […] Là s’était arrêtée autrefois la conquête. Au-delà s’ouvrait un monde peu connu fait de déserts et d’oasis lointaines, de lacs miroitants bordés de palmeraies, Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1993 – Jean RASPAIL, Sept cavaliers quitèrent la ville au crépuscule par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée, « Au-delà s’ouvrait un monde peu connu… »

ANTHOLOGIE – 2010, Wilfried N’SONDE, Le silence des esprits « J’ai laissé parlé mon coeur. »

« J’ai laissé parler mon cœur. »

             Le train rempli à craquer au départ de Paris par une foule anonyme et informe s’était vidé au fil des arrêts, nous abandonnant à son rythme saccadé, avec pour seul spectacle derrière les vitres les noms illuminés des gares. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 2010, Wilfried N’SONDE, Le silence des esprits « J’ai laissé parlé mon coeur. »