« Mourir ensemble de faim. »
« […] Pourtant, derrière la feinte humilité de Khadidja, je sentais le refus viscéral d’appartenir à un univers qu’elle méprisait de toutes ses forces. Il lui était impossible de supporter l’idée qu’elle en était réduite à se disputer à propos des chiottes avec des gens pareils. Continuer la lecture de ANTHOLOGIE – 1997, Boris Boubacar DIOP, Le Cavalier et son ombre. (1) « Mourir ensemble de faim. »